Dans un communiqué, l’instance a vivement réagi aux accusations de corruption proférées par l’association des joueurs des Îles du Pacifique (PRPW).
Hier, le PRPW a publié un rapport visant la gestion de World Rugby. Dans ce texte, la FFR est accusée d’avoir trouvé un arrangement avec la fédération fidjienne de rugby pour obtenir son vote lors des élections. Ce rapport dénonce une manipulation des élections pour que le président sortant, Bill Beaumont, puisse être réélu et pour que Bernard Laporte accède à la vice-présidence de World Rugby. Des accusations graves fermement démenties par World Rugby. L’instance rappelle également qu’elle ne reconnait pas officiellement le Pacific Rugby Players Welfare comme organisme représentatif des joueurs de rugby.
« World Rugby réfute fermement les affirmations non fondées et erronées formulées par l’association Pacific Rugby Players Welfare et son CEO Dan Leo concernant l’influence du vote dans le cadre du récent processus électoral de la fédération internationale et d’autres questions de gouvernance […] World Rugby révise en permanence ses structures de prise de décision et entreprend actuellement un examen de la gouvernance avec un groupe de travail sous la présidence indépendante de Sir Hugh Robertson, dans lequel siègent des représentants des joueurs nommés par l’association International Rugby Players […] En outre, World Rugby reconnaît uniquement l’association International Rugby Players en tant qu’organe représentatif mondial des joueurs, y compris pour les joueurs des îles du Pacifique.