Sanzaar, l’organisateur du Super Rugby va commander un rapport sur l’arbitrage vidéo dans l’hémisphère sud afin de le transmettre à World Rugby.
Si l’organisme qui gère la compétition n’a aucun pouvoir sur les règlements du rugby, il peut toutefois faire certaines recommandations. C’est ce qu’il va se passer à la fin de l’étude commandée par Sanzaar. Ce consortium formé des fédérations néo-zélandaise, sud-africaine, australienne et argentine va se pencher sur les différents problèmes qu’a rencontré l’arbitrage vidéo lors des dernières fenêtres internationales mais aussi en Super Rugby. Pour Sanzaar les protocoles d’appel à la vidéo ne fonctionnent pas. L’organisme souhaite redonner le pouvoir à l’arbitre central et diminuer les interventions spontanées de l’arbitre vidéo.
« Nous avons besoin d’une plus grande cohérence dans l’application des protocoles et la plupart conviendront que ce n’est peut-être pas le cas. Le but de l’examen sera de conduire des changements opérationnels aux protocoles pour assurer cette cohérence afin que de meilleurs résultats soient obtenus. »